L’enquête menée par la police lilloise ne s’est pas arrêtée pour autant. Et selon les informations des collègues de La Voix du Nord, “cinq femmes et un hommes”, âgés entre 21 et 54 ans , tous présentés comme militants vegan, auraient été arrêtés lundi après-midi et mardi matin.
Toujours selon le quotidien, ce serait grâce à une trace d’ADN retrouvée dans l’une des boutiques dégradées que la Brigade des affaires générale de la Sûreté urbaine de Lille aurait pu remonter jusqu’à eux.
Placées en garde à vue, cinq d’entre elles ont finalement été remises en liberté, a annoncé le parquet à La Voix du Nord, ce mercredi midi. Seule une femme de 21 ans est toujours poursuivie et sera jugée le 14 décembre prochain pour les dégradations qu’elle aurait pu commettre sur trois enseignes lilloises dont Canard Street.